My Hero Academia : 10 faits à connaître sur Ochaco Uraraka

L’anime à succès My Hero Academia est exactement cela : l’histoire d’un garçon, Izuku Midoriya, qui fréquente le meilleur lycée héroïque du Japon dans l’espoir de devenir un jour un véritable super-héros.

Il est né sans alter, mais le grand héros All Might lui a donné One For All, et la carrière d’Izuku a commencé. Il rencontre de nombreux nouveaux camarades de classe qui aspirent également à devenir des héros, notamment la fille maitrisant la gravité, Ochaco Uraraka.

Bien qu’Ochaco ne soit pas la meilleure élève de la classe de héros 1-A, le simple fait d’entrer à Yuei en dit long sur son potentiel de super-héros, et comme son ami Izuku, elle grandit vite et ne quitte jamais son objectif des yeux.

Quelles sont donc les choses essentielles à savoir sur cette héroïne en formation ?

10. Ses origines modestes

Sur la photo, ce sont les parents d’Ochaco. Comme pour d’autres personnages bien développés dans My Hero Academia, le passé d’Ochaco est exploré en détail.

Alors que Shoto s’est battu avec son père tyrannique, Ochaco s’entend bien avec ses parents, et ils sont immensément fiers d’elle.

Mais la famille Uraraka s’en sort à peine, car elle a du mal à trouver un travail suffisamment rémunérateur dans le secteur de la construction. Ochaco n’a pas de smartphone comme ses camarades de classe, et il semble que sa famille n’utilise pas de climatiseur en été.

9. Ochaco soutient sa famille

Parlons un peu plus de la famille d’Ochaco. Ochaco a, en fait, deux raisons d’être diplômé de l’université et de devenir un super-héros.

La première est de sauver des gens et de devenir un symbole d’espoir, et la seconde est de subvenir aux besoins de sa famille grâce à ses revenus. Les héros sont payés pour leur travail, et Ochaco attend avec impatience son premier salaire.

Mais pas pour s’acheter une voiture de luxe ! En tant que fille humble et attntionnée, elle a l’intention de reverser ses gains directement à sa famille pour la soutenir. Il est clair que sa mère et son père ne sont pas prêts à lancer leur propre carrière d’héros, alors Ochaco a pris sur elle de le faire.

8. Ochaco Uraraka a bon caractère

Ochaco a une personnalité exceptionnelle, contrairement à l’explosif Katsuki Bakugo ou à l’amer Neito Monoma. Non seulement Ochaco est une fille gentille et coopérative (de bons traits de caractère pour un héros), mais elle n’a pas une once de méchanceté dans son corps.

Dans l’ensemble, Ochaco s’est montrée au-dessus des commérages ou des taquineries, et jamais elle ne rabaissera quelqu’un ou n’abandonnera un ami dans le besoin.

Pour tout problème, petit ou grave, elle est là pour un ami. Et lorsqu’Izuku s’est approché nerveusement de l’école le premier jour, c’est Ochaco qui lui a réservé un accueil chaleureux (et lui a aussi montré son alter).

7. Son côté compétiteur

Ne soyez pas tenté de penser que la personnalité douce d’Ochaco et son humour loufoque font d’elle une mauviette au combat ! Elle est en retard sur certains de ses camarades de classe en matière de duel, mais Ochaco se donne à fond pour devenir un puissant héros et prouver sa valeur.

Le cran et le courage sont toujours des traits admirables chez un personnage, et Ochaco a fait preuve d’une extraordinaire ténacité lorsqu’elle a affronté Bakugo en duel et l’a poussé dans ses retranchements.

Elle a également conçu un plan de bataille astucieux pour faire léviter tous les débris des attaques de Bakugo et créer une pluie de météorites. Ochaco a mal supporté sa défaite, mais son esprit de compétition est toujours aussi vif.

6. Elle peut faire cavalier seul

Une partie de ce qui fait d’Ochaco un impressionnant héros en formation est qu’elle est à la fois une partenaire d’équipe (nous y reviendrons bientôt) et une combattante solitaire.

Ochaco aime se battre aux côtés de ses alliés, mais elle n’y est pas obligée, ce qui est vital puisqu’elle s’est retrouvée seule dans le tournoi du Festival des sports.

Certains personnages secondaires dans les séries shonens (souvent des filles) s’effondrent s’ils sont seuls ou s’ils sont autrement vulnérables.

Pas Ochaco, qui est plus forte que cela. Toute seule, elle a conçu un plan qui a failli fonctionner contre le tout-puissant Katsuki Bakugo, et n’oublions pas la fois où elle a surpassé Himiko Toga avec un mouvement que Gunhead lui a enseigné.

5. Son esprit d’équipe

Voici maintenant l’autre moitié de l’équation. Ochaco est une dure à cuire, mais elle n’est pas assez vaniteuse ou téméraire pour aller toujours se battre seule, comme le font souvent Shoto et Bakugo.

Un héros est quelqu’un qui peut se battre en équipe, et même les pros chevronnés opèrent généralement en escouades improvisées.

Chaque étudiant de Yuei a une mesure de son esprit de coopération, et celle d’Ochaco est assez élevée, comme celle d’Izuku.

Cela ne l’a pas dérangée qu’Izuku soit une cible de choix pendant la bataille de cavalerie, et Izuku a été ravi de son offre. Ochaco fait également un excellent usage de son alter gravité zéro comme alter de soutien au combat, ou pour aider à enlever les décombres et sauver les victimes piégées à l’intérieur. Elle est utile en toute situation !

4. Elle est jalouse

Comme ses camarades de classe, Ochaco n’est qu’une humaine, et c’est une adolescente par-dessus le marché. Ce n’est pas pour rien qu’on l’appelle “Academia” et qu’il s’y passe beaucoup de choses au lycée.

Ochaco est très attachée à Izuku (d’une manière saine), et ils sont les meilleurs amis du monde.

Ochaco est un peu sur la défensive lorsqu’elle doit partager l’attention d’Izuku avec quelqu’un d’autre, comme Mei Hatsume.

Izuku a besoin d’aide avec son alter, et Mei lui a donné un excellent équipement tout en touchant un peu son corps (Ochaco n’était pas contente).

Elle était également ennuyée quand Izuku attribuait le succès de son équipe de cavalerie aux inventions de Mei, alors que l’alter d’Ochaco était tout aussi utile.

3. Elle devait devenir Mount Lady

Comme toute œuvre de fiction, My Hero Academia a dû subir quelques changements et révisions au cours du processus de développement.

Les premiers dessins conceptuels des personnages principaux sont très différents les uns des autres, y compris pour Ochaco. En fait, elle devait être Yu Takeyama, une fille qui peut devenir énorme grâce à son alter.

Finalement ce personnage a fini par devenir le héros pro Mount Lady, et c’est l’un des premiers héros que nous rencontrons, avec Kamui Woods.

Selon l’auteur, il aurait été très difficile de continuer à dessiner un personnage majeur qui change de taille de façon aussi spectaculaire, et c’est un point juste. Nous préférons Ochaco et sa gravité zéro.

2. Entraînement au combat rapproché

Il a été mentionné plus haut qu’Ochaco a été entraîné par le héros professionnel Gun Head (photo). Il y a une bonne raison à cela : après sa défaite au Festival des sports de Yuei, Ochaco a décidé de combler l’une de ses lacunes : le combat rapproché.

Elle était une bonne élève, et après son stage avec Gun Head, Ochaco était un héros d’un tout nouveau genre. C’est ce qui lui a permis de presque échapper à la méchante Himiko Toga, et nous sommes sûrs qu’Ochaco se sortira bientôt d’une autre situation délicate grâce à ces compétences.

1. Elle n’est pas si différente d’Himiko Toga

Au cours de l’histoire de l’entraînement en forêt, Ochaco et Tsuyu se sont retrouvés face à face avec la méchante Himiko Toga, une fille acrobatique qui a un don pour sucer le sang et changer de forme.

Toga a pris le dessus sur Tsuyu, et elle et Ochaco ont également combattu. Pendant ce temps, Himiko avait des choses à dire.

Ochaco a nié, mais comme Himiko l’a fait remarquer, ces filles ne sont pas si différentes après tout ! Toutes deux ont quelqu’un qu’elles aiment et admirent, et leur passion les pousse à essayer d’imiter cette personne.

Mais alors qu’Himiko est un monstre qui veut ressembler à Stain, Ochaco est un héros qui suit parfois les pas de son bon ami Izuku Midoriya.

Plus d’une fois, Ochaco s’est rappelé le courage d’Izuku ou s’est demandé ce qu’il ferait dans une telle situation. Himiko lui a dit : “Tu es une jeune fille amoureuse, comme moi”, et dans le fond, elle n’avait pas tort.